Simon C. a consacré l’essentiel de sa
très longue carrière de peintre à célébrer l’Ardenne du schiste sous toutes ses formes et dans tous ses états, les saisons qui passent sur la Meuse et sur la Semois, les mystères de la forêt, la discrétion gracieuse des villages et des bourgs de la Vallée, les solitudes empreintes de gravité du plateau. Au-delà de sa passion pour la nature, en humaniste, il s’est aussi beaucoup préoccupé des usines, du travail de la forge et de la fonderie et des hommes dont le courage et le savoir-faire ont contribué à l’histoire du pays et à son prestige.
Il est donc le peintre du fer, de la forêt et du travail.